
« Les journaux, ça sert d'abord à faire la litière des chats, et puis c'est subventionné par l'État, c'est-à-dire par nos impôts, donc la presse défend l'idéologie d'État, des gens qui la soutiennent. Donc, c'est normal que moi, qui suis un homme libre, je me retrouve souvent épinglé en une de quelques journaux qui sont les journaux du pouvoir dominant », a-t-il lancé. Il était notamment interrogé sur la une de L'Express qui avait titré « Faut-il brûler Michel Onfray ? ».
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